Mis en avant

L’Esprit du Cœur

Le blog des cercles de partage

« Vous pouvez réapprendre qui vous êtes
seulement en étant qui vous êtes

Vous ne pouvez être qui vous êtes
qu’en partageant qui vous êtes »

Un Cours d’Amour


Nous sommes heureux de vous accueillir dans le blog de l’Esprit du Cœur,
Cet espace d’information et d’échange prolonge les explorations collectives que nous effectuons au sein des cercles de partage.

Vous y trouverez :

– des liens vers des contenus web consacrés à des personnalités, des enseignements ou des thèmes qui nous inspirent
– des références de livres, de documentaires, de films,…
– des citations, des extraits d’ouvrages, etc.
– des témoignages
– des contributions de toute nature

Christelle Delhaye

energie.violoncelle@gmail.com
Tél. 06 67 50 22 39
Frédéric Tari

tari.reiki@free.fr
Tél. 06 08 78 89 90

Partages avec Geoffrey et Frédéric
autour du livre

mis à jour le 12/02/2024

La quatrième de couverture du livre nous dit :

Les messages reçus du Saint-Esprit, par Regina Dawn Akers, pour elle et Laurent Elie Levy. Cette série forme un enseignement nous révélant la nature illusoire du monde, de la séparation, de l’ego et de la peur. Pas à pas, nous sommes accompagnés à lâcher nos fausses perceptions, reprendre notre responsabilité pour celles-ci, et à nous éveiller à notre vraie nature lumineuse et éternelle.

On pourrait encore ajouter que les chapitres qui composent Les Enseignements de l’Esprit ont été reçus jour après jour d’août 2007 à décembre 2008 par Regina Dawn Akers alors qu’elle se trouvait à son domicile en Caroline du Nord aux États-Unis, en compagnie du français Laurent Elie Levy qui recevait et traduisait ces messages. C’est ainsi qu’en 2015, Les Enseignements de l’Esprit ont pu paraître en France pour la première fois.

Outre le caractère singulier attaché à la réception du livre, une interaction permanente avait lieu entre Laurent, Regina et la voix qui s’élevait dans l’esprit de cette dernière tandis qu’elle se posait simplement dans un état contemplatif de détente réceptive. Lorsque des questions venaient à Laurent ou à Regina, la voix y répondait instantanément, de façon directe, avec une force et une acuité stupéfiantes.

Durant tout ce temps, la voix s’est annoncée comme le « Saint-Esprit ». Pour autant, selon les cultures et les latitudes, de nombreux autres noms pourraient lui être donnés, certains l’appelleraient par exemple « la Conscience ». Ainsi dans cet ouvrage, le terme « Saint-Esprit » n’est pas particulièrement une référence à la chrétienté, ni même à une quelconque religion. Comme a pu l’indiquer plus tard Laurent Elie Levy (plus connu sous le nom de Laurent Levy), le « Saint-Esprit » est « cette partie de l’Esprit qui sait que rien n’est séparé ». Ou si l’on veut, cette partie de l’Esprit qui rappelle que tout est une seule et même chose prenant une infinité de formes.

Une seule et même chose qui a profondément à voir avec la découverte de soi et la réalisation de ce que nous sommes véritablement.


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Pour écouter, lire et/ou télécharger des enregistrements audio des chapitres du livre que nous mettons à disposition au fur et à mesure des partages hebdomadaires, utiliser le lien suivant :

https://mega.nz/folder/k70FUBIa#PPclsLdky1AnJPDZGNi7Cg


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QUAND ET SOUS QUELLE FORME ONT LIEU LES PARTAGES HEBDOMADAIRES :

Les partages ont lieu tous les lundis à 19h en direct sur Internet
à partir du lundi 19 février 2024

Un lundi sur deux, la séance est consacrée à la lecture d’un chapitre des Enseignements de l’Esprit que chaque participant est invité à accueillir dans un état d’ouverture et de disponibilité permettant de recevoir la lecture comme une « contemplation », une forme de méditation toute simple où les mots peuvent être reçus en profondeur, sous forme de sons, de vibrations, et ainsi être véritablement entendus sans qu’il soit nécessaire de « comprendre », ni sans que l’activité mentale ne soit vécue comme inopportune ou gênante. Une fois la séance terminée, la proposition est de laisser maturer ce qui a été vécu et d’observer les résonance que l’enseignement de la semaine peut avoir avec les expériences de la vie quotidienne.
Le lendemain de la séance au plus tard, l’enregistrement audio et le texte du chapitre contemplé sont mis à disposition sur le cloud MEGA à partir du lien indiqué précédemment.

Le lundi suivant, la séance est consacrée à un échange en direct : questions-réponses, témoignages des participants qui le souhaitent sur leurs expériences vécues durant la semaine précédente et dialogue de groupe.
De la même façon, l’enregistrement audio de cette séance est mis à disposition dès le lendemain sur le cloud MEGA à partir du lien précédent.

Le lundi qui suit est consacré à la contemplation du chapitre suivant des Enseignements de l’Esprit et ainsi de suite…

COMMENT PARTICIPER :

Pour participer en direct aux partages hebdomadaires, il est nécessaire de disposer d’un ordinateur portable avec haut-parleurs, micro et caméra, ou d’un téléphone mobile, ou encore d’une tablette.
Il suffit alors de cliquer sur le lien qui suit :

https://us02web.zoom.us/j/8736219350?pwd=cjF2bmJ1Nlh1ZVp1eklSa2ZRQmZFUT09

La première fois, cela télécharge et installe le logiciel de visioconférence Zoom (gratuit et très simple). Les fois suivantes, cela lance automatiquement le logiciel pour accéder à la séance en cours.

Une fois Zoom installé, une autre possibilité consiste à lancer le logiciel, puis à indiquer les codes suivants pour accéder à la séance :

  • ID de réunion : 873 621 9350
  • Mot de passe : 531246

Nous comptons sur vous pour conserver ces codes sans jamais les transmettre publiquement, car il sont également utilisés par différents groupes dans le cadre d’autres formes de partage (il est en effet arrivé que, dans l’un de ces groupes, ces codes aient été captés et utilisés abusivement, par exemple pour poster furtivement un contenu indésirable à caractère pornographique)

Avant la première utilisation, lancez le logiciel Zoom, puis effectuez les réglages initiaux : niveau sonore des haut-parleurs, niveau sonore du micro et test de la caméra. C’est prêt !

Lorsque vous rejoignez une séance, assurez-vous de couper votre micro afin de ne pas perturber ce qui s’y déroule. Pour cela, cliquez sur l’icône micro en bas à gauche de l’écran du logiciel (sur les téléphones mobiles et les tablettes, il est nécessaire de toucher l’écran tactile afin que cette icône apparaisse).
Si vous souhaitez intervenir, cliquez sur l’icône « Réaction » en bas à droite de l’écran du logiciel, puis cliquer sur « Lever la main » (sur les téléphones mobiles et les tablettes, il est nécessaire de toucher l’écran tactile afin que cette icône apparaisse). Enfin, ouvrez votre micro lorsque vous êtes invité(e) à intervenir et fermez-le à la fin de votre intervention.
Vous pouvez choisir d’ouvrir ou non votre caméra en cliquant sur l’icône caméra en bas à gauche de l’écran du logiciel.

Pour vous familiariser avec le logiciel Zoom, voici une présentation de 2 minutes sur son installation et son utilisation : https://www.youtube.com/watch?v=FczmyqSrN-g

Lors de ces partages, assurez-vous de disposer d’un espace calme où vous ne serez pas dérangé(e) ou sollicité(e), en particulier lors des séances où il est donné lecture d’un passage des Enseignement de l’Esprit à recevoir dans le silence de la contemplation.


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Pour découvrir l’univers de Regina Dawn Akers et de Laurent Elie Levy :

Les Enseignements de l’Esprit :

– Livre : https://www.lulu.com/shop/laurent-elie-levy-and-regina-dawn-akers/les-enseignements-de-lesprit/paperback/product-22386421.html

– Ebook : https://www.lulu.com/shop/laurent-elie-levy-and-regina-dawn-akers/les-enseignements-de-lesprit/ebook/product-22308108.html


Sites de Regina Dawn Akers :

https://awakening-together.org

https://www.youtube.com/channel/UCqR6p5xqQ8-qneQb5i0aGqw

Sites de Laurent Elie Levy :

https://www.laurent-e-levy.com

https://www.youtube.com/@laurentelielevy


Participez à « La ronde des fées-minines »
avec Zélia Tari

samedi 10 octobre – de 9h30 à 18h
Dojo Énergie Violoncelle – chez Christelle Delhaye
51 rue neuve 34190 St Bauzille-de-Putois

Ceci est un cercle. De femmes. De filles.
Nous naissons filles mais nous devenons femmes.
Chacune avec sa propre féminité.
Chacune avec son propre ventre, son regard,
son intuition et sa magie personnelle.

Nous apprenons pas à pas de la vie et il n’y a pas d’école pour ça. Il n’y que l’exemple des autres, sa mère d’abord et puis toutes les femmes, toutes nos sœurs. Et il y a sa propre voix intérieure, celle qui sait tout quand on apprend à l’écouter.
Ceci est une invitation à se relier les unes aux autres dans un espace ouvert à nos petites sœurs en devenir.
Pour aborder la fée-minité, aussi vaste que l’amour.

A travers l’art, la créativité, le partage, la confiance réciproque, l’acceptation de soi, je vous propose une journée ouverte aux filles à partir de 8 ans et à leurs mères, femmes de ce monde.
Non pas pour enseigner quelque chose mais pour explorer ensemble, apprendre les unes des autres. Pour rire, créer, jouer et fêter la vie.

A apporter :
– des vêtements confortables
– une belle tenue, plutôt robe ou jupe si possible
– des crayons de couleur, des pinceaux et un peu de peinture à l’eau
– une petite offrande à la mère-terre (cristal, fleur, nourriture, objet fabriqué… ou n’importe quoi qui vous inspire)
– des éléments pour la fabrication d’un petit objet, ce qui vous inspire comme :
tous types de perles, tous types de fils (coton, laine, macramé, ficelle…), petits morceaux de tissus, aiguilles à coudre, plumes, petits objets à accrocher (pierres, pendentifs…), boutons, bijoux que vous n’utilisez plus…
– un repas à partager pour le midi

Le tarif est de 70 €, pour une mère et sa fille.
Pour les petits budgets ou toute autre question, contacter :
Christelle : 06 51 33 90 88
Inscription par mail : energie.violoncelle@gmail.com

Qui suis-je ?

Zélia, 27 ans


Je suis sur la route depuis huit ans.
En recherche de sens, d’amour et de clarté, j’ai initié mon chemin par le voyage, me déplacer pour rencontrer et me rencontrer. Par le travail de la terre, les arts martiaux, le travail énergétique puis la danse et la musique, j’ai contacté progressivement ma nature sacrée et ma joie d’être en vie sur la Terre-Mère.

J’ai poursuivi ma route en Amérique du Sud, notamment en Colombie où j’ai découvert le respect de la terre, le sens du rituel, l’appel de ma nature profonde et les médecines contenues dans tout ce qui vit, le feu, la nourriture, les plantes…
Depuis, j’ai été profondément touchée par les cercles de femmes, la puissance du féminin sacré et la chaleur de la sororité, la force du partage et du miroir. Je vis aujourd’hui plus proche de mon intuition et de ma nature de guérisseuse, de chamane, de femme de la terre.

Depuis plus de deux ans, je suis appelée à faciliter le chemin vers ces rassemblements de femmes, pour que cette médecine d’amour puisse toucher toutes les femmes qui en sentent l’appel.

Découvrez la méditation d’auto-compassion R.A.I.N.
avec Tara Brach

Toute notre vie, nous sommes traversés à chaque instant par l’énergie des émotions. Elles sont le propre de notre condition humaine. Elles s’élèvent, dansent en nous et puis repartent. Souhaiter s’en affranchir serait comme vouloir que… la pluie ne mouille pas !
Les sensations qui signent la présence des émotions dans notre corps nous apparaissent parfois comme agréables, parfois comme indifférentes, d’autres fois comme pénibles. Un réflexe conditionné nous pousse à maintenir les premières le plus longtemps possible, à passer notre chemin en présence des secondes et à rejeter ou à fuir les troisièmes.

Dans ma vie comme dans celle de mes camarades humains et des générations qui nous ont précédés, ces trois réactions sont toutes sources de souffrance. Parfois longuement… Pourtant, les neurosciences nous apprennent que, lorsque nos pensées ne s’en saisissent pas, la durée de vie moyenne de nos émotions n’est que de 90 secondes !
Alors, que faire lorsqu’on souffre pendant de longues heures, des jours entiers ou parfois même des années ?!

Eh bien par exemple, se laisser guider par Tara Brach dans la pratique d’une méditation d’auto-compassion dénommée « R.A.I.N. ».

Tara Brach est une psychologue et une instructrice de méditation américaine réputée. Ses enseignements mélangent la psychologie occidentale et les pratiques spirituelles orientales, en même temps qu’une pleine conscience dédiée à notre vie intérieure et un engagement social actif et plein de compassion. Voix singulière du bouddhisme occidental, elle offre une approche sage et bienveillante destinée à libérer la société et nous-même de la souffrance qui nous entrave.

Pour nous permettre de profiter de l’approche et de l’expérience de Tara Brach, j’ai traduit cet article paru en août 2014 dans le magazine américain Mindfull où Tara Brach décrit en détail le processus de la méditation d’auto-compassion qu’elle propose.

L’ayant moi-même pratiqué régulièrement avec bénéfice, aussi bien en séance de méditation que dans la vie quotidienne, je ne peux que vous en recommander chaleureusement l’usage.



Tara Brach : Quand j’étais à la faculté, je suis partie à la montagne pour un week-end de randonnée avec une amie de vingt-deux ans, un peu plus âgée et expérimentée que moi. Après avoir installé notre tente, nous nous sommes assises près d’un ruisseau, regardant l’eau tourbillonner autour des rochers en parlant de nos vies. À un moment donné, elle a décrit comment elle était en train d’apprendre à être « sa meilleure amie ». Une vague de tristesse m’envahit et je fondis en larmes. Je réalisais que j’étais très loin d’être ma meilleure amie. J’étais continuellement harcelée par un juge intérieur impitoyable, tatillon, exigeant et toujours sur mon dos. Ma croyance était alors : « Quelque chose ne va pas fondamentalement chez moi ». Je luttais donc pour contrôler et corriger ce qui ressemblait à un soi fondamentalement défectueux.

Au cours des dernières décennies, grâce à mon travail avec des dizaines de milliers de patients et d’étudiants en méditation, j’en suis venue à voir la souffrance causée par le manque d’estime de soi comme une véritable épidémie. C’est comme si nous étions dans une transe qui nous ferait tous nous considérer comme indignes. Pourtant, j’ai constaté dans ma propre vie et avec d’innombrables personnes que nous pouvions sortir de cette transe par la pratique de la pleine conscience et de la compassion. Nous pouvons parvenir à faire confiance à la bonté et à la pureté naturelles de nos cœurs.

Pour développer l’auto-compassion, il est nécessaire d’entrer dans un contact honnête et direct avec notre propre vulnérabilité. La compassion s’épanouit pleinement lorsque nous prenons activement soin de nous. Pour aider les gens à faire face aux sentiments d’insécurité et d’indignité qu’ils ressentent, j’utilise souvent la pleine conscience et la compassion à travers une méditation que j’appelle « R.A.I.N. » ou encore « auto-compassion ». Inventée pour la première fois il y a environ 20 ans par Michele McDonald, l’acronyme R.A.I.N. est un moyen facile à retenir pour pratiquer la pleine conscience. Il comporte quatre étapes :

1 – Recognize : Reconnaître ce qui se passe
2 – Allow : Accueillir l’expérience, l’Autoriser à être là telle qu’elle est
3 – Investigate : Investiguer, explorer, avec bienveillance et curiosité
4 – Natural awareness : Non-identification = Conscience non identifiée à l’expérience

Vous pouvez prendre votre temps pour pratiquer R.A.I.N. en tant que méditation autonome, ou encore parcourir les étapes plus rapidement à chaque fois que des émotions difficiles surgissent en vous.

R — Reconnaître ce qui se passe

Reconnaître signifie prendre conscience et prendre acte à un moment donné des pensées, émotions et comportements qui nous affectent. Comme lorsqu’on se réveille d’un rêve, la première étape pour sortir de la transe de l’indignité est simplement de reconnaître que nous y sommes coincés, en étant soumis à des croyances, des émotions et des sensations physiques douloureuses et contraignantes. Les signes courants de la transe comprennent : une voix intérieure critique, des sentiments de honte ou de peur, de l’anxiété ou une sensation lourde de dépression.

Les personnes réagissent au sentiment d’indignité de différentes manières. Certains cherchent à rester occupés, essayant de prouver leur valeur; d’autres, craignant l’échec, peuvent se décourager ou même être paralysés. D’autres encore peuvent recourir à des comportements addictifs pour éviter d’affronter leur honte et leur peur. Chacune de ces stratégies peut conduire à un comportement défensif ou agressif avec les autres, ou à un attachement malsain.

Certains d’entre nous sont en guerre contre nous-mêmes depuis des décennies, ne réalisant jamais combien notre jugement et notre aversion pour nous-mêmes nous empêchent de trouver une véritable intimité avec les autres ou de profiter de nos vies. Un soignant en soins palliatifs rapporte qu’un des regrets récurrents des mourants est le sentiment de ne pas avoir été respectueux de leur propre vie. Plutôt que d’écouter et de faire confiance à la vie qui coule en nous, la plupart d’entre nous essayons de vivre selon ce que nous croyons être les attentes des autres. Comme nous tombons inévitablement à côté de ces attentes, nous nous le reprochons.

Bien que cela puisse sembler déprimant ou écrasant, apprendre à reconnaître que nous sommes en guerre contre nous-mêmes peut s’avérer assez stimulant. Un étudiant en méditation a décrit la transe de l’indignité comme « … le gaz invisible et toxique que je respire en permanence ». Alors qu’il devenait de plus en plus conscient de son incessant jugement de lui-même et de son sentiment de ne pas être à la hauteur, son aspiration à se libérer de sa pénible prison intérieure grandit.

A — Accueillir l’expérience, l’Autoriser à être là telle qu’elle est

Autoriser ou Accueillir invite à laisser simplement les pensées, les émotions, les sentiments ou les sensations que nous avons reconnus être là. Généralement, lorsque nous vivons une expérience désagréable, nous réagissons de trois manières : en multipliant les jugements, en anesthésiant nos émotions, ou en détournant notre attention.
Par exemple, nous pourrions avoir le sentiment honteux d’avoir été trop sévère avec notre enfant. Mais plutôt que de nous autoriser ce sentiment, il nous arrive de reprocher à notre partenaire de ne pas faire sa part, de s’intéresser à des choses futiles ou de vouloir faire la sieste. Nous résistons à la brutalité et au caractère désagréable du sentiment en nous extrayant du moment présent.

Ici, nous nous autorisons simplement une pause avec l’intention de lâcher notre résistance et de laisser notre expérience être telle qu’elle est. Permettre à nos pensées, émotions ou sensations d’être simplement telles qu’elles sont ne signifie pas que nous sommes d’accord avec notre conviction d’être indignes. Au contraire, nous reconnaissons honnêtement la présence de notre jugement, ainsi que les sentiments sous-jacents douloureux. Beaucoup d’étudiants avec qui je travaille s’exercent à ce « laisser faire » en s’offrant silencieusement un mot ou une phrase encourageante. Par exemple, vous pourriez ressentir l’emprise de la peur et murmurer mentalement « oui » afin de reconnaître et d’accepter la réalité de votre expérience du moment.

Victor Frankel écrit : « Entre le stimulus et la réponse, il y a un espace, et dans cet espace se trouve notre pouvoir et notre liberté. » Autoriser, accueillir crée un espace qui nous permet de voir plus profondément notre propre être. Cela, à son tour, éveille notre bienveillance et nous aide à faire des choix plus sages dans la vie. Pour une élève, cette autorisation lui a donné plus de liberté lorsqu’elle était confrontée à des pulsions boulimiques. Avant, à chaque fois qu’elle se sentait agitée ou anxieuse la nuit, elle commençait à penser à sa nourriture préférée – le « mélange montagnard » – puis en consommait sans réfléchir une demi-livre avant de se coucher, dégoûtée d’elle-même. Apprendre à reconnaître les signaux et faire une pause a interrompu le schéma. En faisant une pause, elle se permettait de ressentir la tension dans son corps, son cœur battant, l’envie. Bientôt, elle a commencé à entrer en contact avec un sentiment poignant de solitude enfoui sous son anxiété. Elle a constaté que si elle pouvait rester avec la solitude et être douce avec elle-même, l’envie passait.

I — Investiguer : explorer avec bienveillance et curiosité

Investiguer ou explorer signifie faire appel à notre curiosité naturelle – le désir de connaître la vérité – et diriger une attention avec davantage d’acuité sur notre expérience actuelle. Prendre simplement une pause en se demandant « que se passe-t-il en moi maintenant ? » peut permettre la reconnaissance, mais l’investigation ou l’exploration permet une expérience plus active et plus pointue.
Vous pourriez vous demander : « Qu’est-ce qui est en train de réclamer le plus mon attention ? », « Comment cela se traduit-il en sensations dans mon corps ? », ou « Que suis-je entrain de croire ? », « Qu’est-ce que cette émotion attend de moi ? ». Vous ressentirez peut-être un vide ou une peur, puis découvrirez un sentiment d’indignité et de honte masqué par ces émotions. À moins d’en prendre conscience, vos croyances et émotions inconscientes contrôleront votre expérience et perpétueront votre identification au « petit moi », un sens de soi limité et déficient.

Le poète Dorothy Hunt dit que nous avons besoin d’un « … espace de cœur où tout ce qui est est le bienvenu ». Sans une telle attitude de soin inconditionnel à soi-même, nous ne ressentons pas suffisamment de sécurité et d’ouverture pour qu’une véritable investigation ou exploration ait lieu. Il y a une dizaine d’années, je suis entrée dans une période de maladie chronique. Au cours de cette période particulièrement difficile de douleur et de fatigue, j’ai rencontré le découragement et la dépression. J’étais probablement horrible à côtoyer – impatiente, égocentrique, irritable et sombre. J’ai commencé à pratiquer R.A.I.N. pour reconnaître ces émotions et ces jugements et pour permettre consciemment aux souffrances physiques et émotionnelles d’être là. Alors que je commençais à investiguer et à explorer, j’ai entendu une voix aigrie intérieure : « Je déteste vivre comme ça ». Et puis un instant plus tard : « Je me déteste ! ». La toxicité totale de l’aversion pour moi m’a remplie.

Non seulement je luttais contre la maladie, mais j’étais en plus en guerre contre la personne égocentrique et égoïste que je croyais être devenue. Sans le savoir, je m’étais retournée contre moi-même et j’étais prisonnière de la transe de l’indignité. Mais à partir du moment où j’ai pu reconnaissance, autoriser et accueillir la souffrance issue de ma haine de moi, mon cœur a commencé à s’ouvrir et accéder à la compassion.

Voici une histoire qui illustre le processus que j’ai suivi. Imaginez que vous marchez dans les bois et que vous aperceviez un petit chien assis près d’un arbre. Vous vous penchez pour le caresser et il se précipite soudainement vers vous en montrant les dents. Au début, vous pourriez avoir peur et être en colère. Mais alors, vous remarquez que l’une de ses pattes est prise dans un piège, enfouie sous les feuilles. Immédiatement, vous passez de la colère à l’inquiétude. Vous comprenez que l’agressivité du chien est due à la vulnérabilité et à la douleur.

Cela s’applique à nous tous. Lorsque nous nous comportons de manière réactive et blessante, c’est parce que nous sommes pris dans une sorte de piège douloureux. Plus nous investiguons, plus nous explorons la source de nos souffrances, plus nous cultivons un cœur compatissant envers nous-mêmes et envers les autres.

Quand j’ai reconnu à quel point ma jambe était dans un piège – la maladie aggravée par mon aversion pour moi-même – mon cœur s’est rempli de chagrin et d’un véritable désir de prendre soin de moi. L’investigation et l’exploration s’approfondirent alors que je posais doucement ma main sur mon cœur – un geste de bienveillance – et invitai tous les autres sentiments à faire surface. Une vague de peur (incertitude pour mon avenir) s’est répandue dans ma poitrine, suivie d’une montée de souffrance au sujet de ma santé défaillante. Le sentiment d’auto-compassion s’est déployé pleinement alors que je chuchotais mentalement « Tout va bien, ma chérie » et j’ai consciemment soigné les profondeurs de ma vulnérabilité, tout comme je le ferais avec un ami cher.

La compassion naît naturellement lorsque nous entrons consciemment en contact avec nos souffrances et que nous y répondons en prenant soin de nous. Pendant que vous pratiquez la médiation d’auto-compassion R.A.I.N., expérimentez et voyez quel acte intentionnel de bienveillance vous aide le plus à vous adoucir ou à ouvrir votre cœur. Beaucoup de gens trouvent la guérison en plaçant doucement une main sur le cœur ou la joue, d’autres, dans un message de prudence chuchoté, ou en envisageant d’être baigné d’une lumière chaude et rayonnante. Ce qui importe, c’est qu’une fois que vous avez enquêté sur votre souffrance et que vous l’avez contactée, répondez en offrant des soins à votre cœur. Lorsque l’intention d’éveiller l’amour de soi et la compassion sont sincères, le moindre geste – même si au début il semble gênant – vous sera profitable.

N — Non-identification : Conscience non identifiée à l’expérience

La non-identification nous ouvre à notre « conscience naturelle d’amour » qui se produit lorsqu’on cesse d’être identifié au « petit moi ». Cette pratique de non-identification signifie que le sentiment-de-qui-nous-sommes est détaché et indépendant de toute émotion, sensation ou histoires limitantes. Nous commençons à comprendre et à vivre une ouverture et un amour qui expriment notre conscience naturelle.

Bien que les trois premières étapes de R.A.I.N. nécessitent une activité intentionnelle, le « N » est le trésor : un retour aux sources libératrices de notre nature véritable. Il n’y a rien à faire pour cette dernière partie de R.A.I.N. : nous nous laissons simplement reposer dans la conscience naturelle que nous sommes.


La technique d’auto-compassion R.A.I.N. n’est pas une méditation destinée à être pratiquée une seule fois, de même que la réalisation de notre conscience naturelle n’est généralement pas complète, stable ou même durable instantanément et une fois pour toute. Cependant, lorsque que vous pratiquez, vous pouvez ressentir un sentiment de chaleur et d’ouverture, un changement de perspective. Fiez-vous à cela !
R.A.I.N. est la pratique d’une vie. Elle permet de prendre en compte et de gérer nos doutes et nos peurs avec une véritable action curative. Chaque fois que vous vous offrez de ralentir et de reconnaître « oh, c’est la transe de l’indignité… c’est la peur… c’est une vieille blessure… c’est le jugement… », vous êtes prêt à déconditionner les vieilles habitudes et les croyances limitantes qui emprisonnent votre cœur. Peu à peu, vous découvrirez la conscience naturelle et aimante comme la vérité de qui vous êtes et vous abandonnerez toutes les croyances que vous avez nourries sur le fait d’être défectueux ou de ne pas être à la hauteur.

Une de mes amies était assise avec sa mère mourante alors qu’elle était dans le coma. À un moment donné, la mère a ouvert les yeux, a regardé sa fille avec une grande lucidité et a dit : « Tu sais, toute ma vie, j’ai pensé que quelque chose n’allait pas chez moi ». Elle ferma les yeux, retomba dans le coma et mourut peu de temps après. Pour mon amie, les paroles de sa mère étaient un cadeau de départ. Elles l’ont inspirée à se consacrer à la pleine conscience et à l’auto-compassion qui nous libèrent.

Nous sommes tous conditionnés et vivons pendant de longues périodes de temps emprisonnés dans un sentiment de manque, coupés de la réalisation de notre nature véritable, de notre vitalité et de notre amour. La plus grande bénédiction que nous puissions nous donner est de reconnaître la douleur de cette transe et d’offrir régulièrement la méditation d’auto-compassion R.A.I.N. à nos cœurs qui s’éveillent.

Offrez-vous une méditation musicale
avec Christelle Delhaye

J’ai enregistré cette séquence pour mon propre usage, mais avec le souhait profond qu’elle puisse être utile à d’autres. Il y avait entre autre intentions : apaisement, soutien, confiance et libération de ce qui appelait une transformation. L’envie aussi que chacun se sente libre d’accompagner de son propre chant, si le désir venait.

J’ai partagé cet enregistrement avec quelques amis et depuis il y a des retours sur le soutien que ce moment musical a apporté : tristesse ressentie face à la maladie de proche, amélioration de troubles du sommeil,…

Je suis très touchée de pouvoir faire le colibris, n’hésitez pas à transmettre ce fichier à votre tour…

En voici le lien sur Soundcloud :
https://soundcloud.com/user-834197019/hommage-du-1er-avril-2020

Christelle

Méditons ensemble
avec Frédéric Tari

mis à jour le 12/02/2024

A l’occasion du printemps 2020 si particulier marqué par le changement brutal de nos modes de vie, j’ai eu envie de proposer à celles et ceux qui le souhaitent de se retrouver librement plusieurs fois par semaine sur Internet pour méditer ensemble.

L’idée m’est venue en fin mars lors d’un échange avec une amie à la recherche d’enregistrements de qualité pouvant la guider pas à pas dans la pratique de la méditation.
Après l’avoir envoyée vers Christophe André et Matthieu Ricard, j’ai pu recueillir ses premiers retours. J’ai alors senti combien la pratique solitaire, même guidée par ces méditants renommés, pouvait peut-être s’avérer aride lorsqu’on débute, lorsqu’on reprend ou même lorsqu’on souhaite entretenir sa pratique de la méditation.
C’est pourquoi, sans plus réfléchir, je me suis entendu lui dire : « eh bien… méditons ensemble ! »

Depuis lors, plusieurs amis et connaissances nous ont rejoints. Nous nous sommes ainsi retrouvés deux fois par semaine durant environ 1h30 pour méditer ensemble en toute simplicité, avec l’envie de s’offrir un espace et un temps à soi.
Un espace et un temps de douceur et de bienveillance pour prendre soin de soi, pour prendre soin des autres, pour goûter la présence et la plénitude de l’instant.
Un espace et un temps pour partager.

Ces séances de méditation sont ouvertes gratuitement à toutes et à tous,
que vous soyez débutant, pratiquant occasionnel ou méditant régulier.

Pour participer, contactez Frédéric Tari
Tél. 06 08 78 89 90
tari.reiki@free.fr


Pour être tenu.e informé.e des séances à venir et de leur contenu, demandez simplement à être inscrit.e au groupe Méditons Ensemble sur les applications WhatsApp ou Signal

Vous pouvez également choisir de soutenir l’activité du groupe Méditons Ensemble en faisant un don du montant de votre choix, ce qui permet notamment de payer l’abonnement mensuel à Zoom :
– par Paypal : https://www.paypal.me/frederictari
ou
– par Paylib : envoyez votre participation au numéro 06 08 78 89 90 en utilisant Paylib depuis l’application de votre banque sur votre téléphone mobile (détails ici : https://www.paylib.fr/paiement-entre-amis/)


EN PRATIQUE, COMMENT PARTICIPER :

Les séances ont lieu actuellement :
tous les mardis de 18h30 à 20h
les samedis de 13h à 14h30, à la demande

Il est nécessaire de disposer d’un ordinateur portable avec haut-parleurs, micro et caméra, ou d’un téléphone mobile, ou encore d’une tablette.
Il suffit alors de cliquer sur le lien qui suit :

https://us02web.zoom.us/j/8736219350?pwd=cjF2bmJ1Nlh1ZVp1eklSa2ZRQmZFUT09

La première fois, cela télécharge et installe le logiciel de visioconférence Zoom (gratuit et très simple). Les fois suivantes, cela lance automatiquement le logiciel pour accéder à la séance en cours.

Une fois Zoom installé, une autre possibilité consiste à lancer le logiciel, puis à indiquer les codes suivants pour accéder à la séance :
– ID de réunion : 873 621 9350
– Mot de passe : 531246

Nous comptons sur vous pour conserver ces codes sans jamais les transmettre publiquement, car il sont également utilisés par d’autres groupes dans le cadre d’autres formes de partage. Il est en effet arrivé que, dan l’un de ces groupes, ces codes aient été captés et utilisés abusivement, par exemple pour poster furtivement un contenu indésirable à caractère pornographique.

Avant la première utilisation, lancez le logiciel puis effectuez les réglages initiaux : niveau sonore des haut-parleurs, niveau sonore du micro et test de la caméra. C’est prêt !

Lorsque vous rejoignez une séance, assurez-vous de couper votre micro afin de ne pas perturber la pratique. Pour cela, cliquez sur l’icône micro en bas à gauche de l’écran du logiciel (sur les téléphones mobiles et les tablettes, il est nécessaire de toucher l’écran tactile afin que cette icône apparaisse).
Lors des échanges en fin de séance, ouvrez votre micro lorsque vous souhaitez intervenir puis fermez-le ensuite.
Vous pouvez choisir d’ouvrir ou non votre caméra en cliquant sur l’icône caméra en bas à gauche de l’écran du logiciel.

Pour vous familiariser avec le logiciel Zoom, voici une présentation de 2 minutes sur son installation et son utilisation : https://www.youtube.com/watch?v=FczmyqSrN-g


La méditation proprement dite peut s’effectuer sur une « assise de méditation » (coussin de type zafu, gomden, tabouret de yoga,…) ou à défaut, sur une simple chaise confortable et sans accoudoirs, avec idéalement un tapis sous les pieds pour la chaleur et le confort (zabuton, tapis de yoga, tapis de gym, …)
Si la position assise est très inconfortable ou impossible, on peut aussi méditer allongé.e.

Dans tous les cas, assurez-vous de disposer d’un espace calme où vous ne serez pas dérangé.e ou sollicité.e. Disposer d’un peu de place peut aussi s’avérer appréciable (mais pas indispensable), car la séance de méditation débute par de petites pratiques physiques très simples de type yoga destinées à prendre conscience de notre corps.
Il est bon également d’avoir un peu d’espace pour pouvoir effectuer quelques étirements en cours de séance.

A bientôt !

A la rencontre de Marie-Thérèse Fernbach

Rencontrer Marie-Thérèse Fernbach, c’est se rencontrer soi-même.
une découverte, un choc… une joie !

Un peu comme lorsqu’on se retrouve en présence de certains êtres habités tels que Nisargadatta Maharaj, Amma, Franck Lopvet, Laurent Levy, Pierre Leré Guillemet ou Gérald Ben Merzoug.
Ce n’est pas une affaire de charisme, non. Encore moins de personnalité. C’est tout l’inverse. Chez Marie-Thérèse comme chez tous ceux-là, la personne et l’ego ont fait place à l’être. Les enjeux du mental à… la vie !
Inutile de chercher l’extraordinaire, c’est d’abord sa simplicité que l’on reçoit. Un cadeau de douceur et de bienveillance. Une écoute d’une rare acuité. Une présence, aussi. Une énergie de vie qui réveille !
Et puis, un regard qui voit le fond de l’âme. A celui-là, impossible d’échapper. Feindre, fuir, ou tenter de dissimuler ne sont pas plus des options. Pour autant, pas de pression, aucun jugement. Au contraire, tout est Amour. Simplement, pas de faux-semblants, pas de complaisance. Avec Marie-Thérèse, c’est direct. Les réponses sont immédiates et son « alors, qu’est ce que tu attends ? », tellement stimulant !

Pour découvrir Marie-Thérèse Fernbach, vous pouvez par exemple :
– Parcourir son site web joliment intitulé Que Ta Volonté soit Fête
– Ecouter cette belle interview réalisée par Anne-Claire Rebibo pour L’heure des Sages
– Lire son livre intitulé Ephatha, ouvre-toi où elle raconte son étonnant parcours et la puissance de son ouverture de conscience
– Lire le chapitre « Expérience 28 : Initiation » du livre Journal d’un éveil du 3ème œil – Tome 1Christophe Allain relate sa rencontre décapante avec cette « agapé thérapeute » stupéfiante.

Mais vous avez aussi la chance de pouvoir la rencontrer en direct prochainement dans le beau village héraultais de Saint Jean-de-Buèges (environ 1h de route au nord de Montpellier) où elle animera une « Constellation de l’âme »
samedi 2 et dimanche 3 novembre 2019.
Réservation auprès de Sophie au 06 14 94 94 74

J’ai moi-même participé en octobre 2018 à une constellation de l’Âme à ce même endroit en compagnie de plusieurs amies. Eh bien que vous dire, sinon… que du bonheur !
A la suite de cette belle aventure qui a définitivement levé mes craintes et mes dernières resistances, j’ai d’ailleurs envoyé un témoignage que Marie-Thérèse a publié.

Participez à une constellation familiale avec Lucie Dagbert

Constellations familiales et systémiques

du vendredi 25 octobre à 19h au dimanche 27 octobre à 17h
à Serres (11377) dans l’Aude

Une constellation est une rencontre avec soi-même, un moment d’exploration de son inconscient relationnel, familial et transgénérationnel. C’est une approche qui permet de dénouer les nœuds invisibles qui nous freinent pour avancer, de prendre sa juste place, là où chacun peut alors se déployer, de contacter ses racines et d’y puiser des ressources insoupçonnées.

En 2017, j’ai vécu mes premières constellations. Fascinée et réveillée par cet outil, je suis allée découvrir différentes approches pour approfondir celle qui résonne le plus pour moi, l’approche des constellations par le corps. Très peu de mots, c’est l’intelligence du corps qui parle. Je me suis formée pendant 2 ans auprès de Carole Chenevier.

Comment se déroule une constellation ?

A tour de rôle, chacun formule une demande qui répond à la question : « qu’est ce que je veux pour moi ? ». La formulation n’a pas besoin d’être reliée à la famille et peut concerner tous les aspects de la vie (relationnel, lieu de vie, santé, …). Il est intéressant d’être à l’écoute de ses rêves les nuits précédentes qui sont de très bons indicateurs de ce vers quoi l’inconscient est tourné à ce moment. Vous pouvez aussi arriver sans demande et celle-ci peut se manifester au cours du week-end.

Ensuite la personne ayant exprimé sa demande, choisi dans le groupe un représentant pour elle-même. Ce représentant se met à l’écoute des ressentis dans son corps. Puis d’autres représentants sont choisis pour d’autres éléments de la situation et nous voyons ce qu’il se passe. En tant que facilitatrice, j’accompagne la constellation vers un état d’harmonie.

A chaque fois que vous serez choisi comme représentant, ce sera un voyage au cœur des émotions, le voyage de la vie. L’invitation est de ressentir à partir du corps, de se laisser agir, sans jugement de valeurs, sans interprétation. Je vous guiderai vers la voie de l’écoute du corps, notamment à l’aide d’exercices.

La rencontre est limitée à 15 personnes afin de permettre à chacun d’avoir l’espace de vivre sa constellation.

Tarif du week-end (hors hébergement) : 75 €
points-jeu acceptés sur la moitié du tarif.

La rencontre se déroule chez Marc. La salle est magnifique et la maison dispose d’un dortoir avec des matelas. Pour dormir sur place, il faut ajouter 10 € par nuitée. Il est possible de repartir le lundi matin.

Tous les repas seront partagés en mode « auberge espagnole ». Nous nous laisserons une demi-heure pour cuisiner avant chaque repas.

La rencontre commencera le vendredi à 19h par un repas partagé ; elle se terminera le dimanche à 17h.

Pour toutes questions, n’hésitez pas à me contacter.

lucie.dagbert@gmail.com
06 51 96 61 22

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